Rencontre avec Florent animateur technique à l’atelier de maintenance bus d’Audibert

Rencontre avec Florent animateur technique à l’atelier de maintenance bus d’Audibert

Le jour se lève à peine rue d’Audibert, Florent quant à lui est déjà à l’atelier. Animateur technique, sa journée commence toujours par un état des lieux des véhicules du dépôt.
De l’autre côté de son bureau, dans ce gigantesque entrepôt qu’est l’atelier de maintenance d’Audibert, une petite équipe que Florent supervise s’affaire à remettre en service les bus en panne ou accidentés.
Après une carrière dans l’Armée de Terre en tant que mécanicien, Florent intègre Keolis Lyon en 2016 en tant que mainteneur où il apprend très vite, notamment à réparer et assurer la maintenance des bus.

« Malgré ma bonne connaissance de la mécanique voiture, celle des bus est complètement différente et une formation complète a été nécessaire. J’ai appris la maintenance corrective puis préventive et à identifier et réparer des pannes sur des véhicules poids-lourds. »

Doué et motivé, il évolue rapidement vers le métier de technicien avec de nouvelles missions, de management et de gestion de pannes plus complexes.

« En l’absence du chef d’équipe, je deviens responsable de l’atelier et encadre les équipes. C’est très polyvalent ce qui me correspond complètement, je fais toujours de la mécanique tout en ayant de nouvelles missions, à responsabilité.
Je suis en charge notamment d’analyser les pannes qui surviennent sur le réseau et d’agir au plus vite. C’est un vrai défi à relever ! Dès qu’un véhicule tombe en panne je suis contacté et je dois être en mesure d’apporter la meilleure solution pour que l’exploitation reprenne, en mandatant sur les lieux une équipe de l’atelier ou une entreprise extérieure. »

Bien que très attaché à l’aspect mécanique de son métier, Florent souligne également la bonne ambiance :

« C’est un vrai plaisir de venir au travail, entre la bonne humeur et l’entraide, on est une équipe extrêmement soudée c’est hyper motivant ! »

Enfin, selon lui, le métier est très complet et même si l’on débute avec quelques connaissances des véhicules lourds, la formation permet très vite d’être autonome et des perspectives d’évolutions sont rapidement proposées.

« C’est un métier où l’implication est valorisée, on m’a très vite fait confiance et j’ai pu évoluer ! »